Le Français au quotidien

Le Français au quotidien

Modèles de textes descriptifs ( Tronc commun lettres)

Le portrait

Texte 1 :

Elle s’appelle Laura, c’est une très belle fille âgée de dix neuf ans ; elle est de taille svelte et d’un teint  luisant et blanc. Son visage en forme arrondie marqué par une touche d’innocence parait frais et lisse. Son front est souvent caché par une frange qui annonce le début d’une chevelure bouclée ; lisse ; longue et blonde.

Ses beaux yeux en forme d’amandes et en couleur de miel, expriment un regard à la fois doux et naïf, au dessous desquels s’élancent  deux sourcils, on dirait deux petits arcs parfaitement tracés.`

Elle a une très belle bouche en forme de cœur dont la couleur ressemble à celle des fraises et qui est meublée de dents blanches et éclatantes  correspondant à des joyaux.

Au dessous du menton rond s’élance un cou de cygne si long et si souple qu’il fait plaisir à voir.

Laura n’est pas seulement parfaite d’apparence mais elle est d’une bonté excessive : elle aime tout le monde ; en effet elle est si modeste et si généreuse qu’elle est surnommée la fille modèle.

 

 

 Texte 2 :

Je me souviens, quand j’étais petit, d’un vieux voisin appelé  Mohamed. Cet homme a vraiment marqué mon enfance.

Il avait des cheveux noirs, des gros sourcils, son nez gros du bout lui donnait l’air d’un africain, ses lèvres étaient très lippues.

Mohamed était un homme sage, extrêmement gentil, généreux et aimable.

Maintenant que je suis grand, j’aimerai être comme lui, pour moi c’est un modèle à suivre.

 

 

 Texte 3 :

Charlemagne

 

D'une large et robuste carrure, Charlemagne était d'une taille élevée, sans rien d'excessif d'ailleurs. Il avait le sommet de la tête arrondi, de grands yeux vifs, le nez un peu plus long que la moyenne, de beaux cheveux blancs, la physionomie gaie et ouverte. Aussi donnait-il, extérieurement, assis  ou debout, une forte impression d'autorité et de dignité. On ne remarquait même pas que son cou était gras et trop court et son ventre trop saillant, tant étaient harmonieuses les proportions de son corps. Il avait la démarche assurée. [ ... ]

Il portait le costume national des Francs : sur le corps, une chemise et un caleçon de toile de lin ;

 pardessus, une tunique brodée de soie et une culotte ; des bandelettes autour des jambes et des pieds ; un gilet en peau de loutre ou de rat lui protégeait en hiver les épaules et la poitrine ; il s'enveloppait d'une saie bleue et avait toujours, suspendu au côté, un glaive dont la poignée était d'or ou d'argent.  Parfois, il portait une épée ornée de pierreries, mais seulement les jours de grandes fêtes ou quand il  avait à recevoir les ambassadeurs étrangers. Les jours de fête, il mettait un vêtement tissé d'or, des chaussures décorées de pierreries et un diadème d'or orné lui aussi de pierreries ; mais les autres jours, son costume différait peu de celui des hommes du peuple.

 

1. Une saie : un manteau court.



25/11/2014
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